L’anthropologue franco-iranienne, condamnée à cinq ans de prison en Iran, a pu regagner son domicile où elle est assignée à résidence sous le contrôle d’un bracelet électronique.

Le Monde avec AFP

La chercheuse Fariba Adelkhah, détenue en Iran depuis juin 2019, a bénéficié samedi 3 octobre d’une permission de sortie et reste à Téhéran avec sa famille sous le contrôle d’un bracelet électronique. « On ne nous a pas encore [donné] une date pour son retour en prison mais nous espérons que cette libération temporaire deviendra définitive », a déclaré son avocat, Saïd Dehghan, sans fournir plus de détails.