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Sur les réseaux sociaux ou les messageries, les comptes "fisha" intimes de jeunes femmes sans consentement, se multiplient.

Des associations tentent d’aider les victimes de cette forme de «revenge porn».

StopFisha, une vingtaine de jeunes – majoritairement des femmes, à une>exception près – apprend à protéger son identité numérique.

Voir l'article du Monde