Notre collègue Fariba Adelkhah (arrêtée le 5 juin 2019)  a bénéficié en août 2022, d'une permission de sortie de la prison d'Evin, sous contrôle judiciaire et d'une durée de 5 jours. 
Nous nous réjouissons de ce répit, mais ne pouvons que rappeler le caractère inacceptable de la privation de liberté dont elle est l'objet,  dans le cadre d'une politique publique de prise d'otages de la part de la République islamique d’Iran. 
Le meilleur moyen d'exprimer notre solidarité avec Fariba est de la (re)lire. Ses écrits nous rappellent que le gouvernement iranien, en la détenant, réprime d'abord l'intelligence, l'intégrité et la rigueur scientifiques.