Le 24 novembre, Aurore Bergé annonce un projet de loi-cadre

et simultanément un groupe de parlementaires dépose une proposition de loi intégrale qui insiste sur la dimension transversale du texte et veut couvrir en intégralité les contextes dans lesquels les violences peuvent s’exercer, notamment la justice, les forces de l’ordre, la santé, l’école, le travail, l’espace numérique, ou encore la sphère familiale.

Cette démarche s’appuie directement sur  les recommandations formulées en novembre 2024 par la Coalition féministe et enfantiste pour une loi-cadre intégrale contre les violences sexuelles qui regroupe une soixantaine d’organisations féministes.