Le Comité consultatif des droits de l'Homme de l'ONU, saisi par une ancienne salariée de la crèche Babyloup qui avait épuisé les recours juridiques en France qui avait tous donné raison à l’association gérant la crèche, condamne la France pour « atteinte à la liberté de religion ».
Conscient du risque d’échec devant la Cour Européenne des Droits de l’Homme, les avocats de l'ancienne salariée ont préféré saisir ce comité.
"Le Comité consultatif des droits de l'homme de l'ONU, n’est ni l’ONU ni une cour de justice. Il s’agit d’un comité consultatif qui adopte des constatations dépourvues de force juridique obligatoire, accompagnées de propositions." voir l'article de Michèle Vianès, présidente de l'association Regards de femmes.
Voir le CP de la Ligue du droit international des femmes, Affaire Baby Loup : l’ONU contre les droits des petites filles à l’émancipation.